Lors d’une séance de réflexologie dorsale nous avons une action à plusieurs niveaux :
Le niveau émotionnel : En médecine chinoise tout comme en médecine ayurvédique toutes nos histoires émotionnelles s’impriment dans notre corps. La colonne vertébrale, là ou circule le QI ou le Prana, est le reflet de ces émotions.
Le toucher est probablement le sens le plus indispensable à la survie de l’être humain. En Grèce, Hippocrate insistait pour que les médecins se forment à l’art de frictionner.
Nous ne serons donc pas étonné-ées des différentes réactions émotionnelles des personnes pendant ou après une séance de réflexologie dorsale.
Le niveau physique : Action sur les tensions, les douleurs, les nœuds. La colonne vertébrale est le support de l’ensemble du squelette mais aussi de pas mal de nos nos maux. Ne dit-on pas : ” il porte le poids du monde sur ses épaules, J’en ai plein le dos » maux. Les appuis, frictions le long de la colonne peuvent permettre d’atténuer des tensions et nœuds qui bien souvent entrainent des douleurs. Même si la-le réflexologue ne remplace pas un travail de kinésithérapie, beaucoup plus précis
Le niveau organique : De notre colonne vertébrale partent 62 nerfs rachidiens, 31 de part et d’autre. Chaque paire de ces nerfs innerve différents organes de notre corps. Ainsi à chaque vertèbre correspondraient un ou plusieurs organes ou une fonction du corps humain. Les appuis, tapotements et frictions sur les apophyses épineuses auraient ainsi une résonnance directe sur les zones de correspondances des glandes, organes ou parties du corps concerné.
